Philippe Marcelé, ancien enseignant à l’université Rennes 2 qui a codirigé mes recherches de Master, m’a interviewé au sujet de mon travail.
Début de l’entretien:
Philippe Marcelé:
Anthony, il se dégage d’une vue d’ensemble, même superficielle, de ton travail, deux choses essentiellement : d’une part, son caractère minimaliste qui réduit les figures à l’état de signes élémentaires, de pictogrammes anonymes ; d’autre part, l’importance du numérique tant dans la réalisation que dans le mode d’existence de l’œuvre, c’est-à-dire son support. On peut penser que ces deux aspects sont, pour toi, en complète interférence. Cependant, pour des raisons de clarté, je préférerais que nous les abordions, dans un premier temps, l’un après l’autre.
Commençons par les pictogrammes. Pourquoi s’en tenir à un système de signes aussi minimal ?
Anthony:
D’accord pour procéder dans cet ordre. Pour répondre à ta première question, je dois revenir sur la façon dont les pictogrammes sont apparus dans mes travaux. D’abord pour des raisons purement « tactiques », avant de s’imposer comme système…
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Autres liens: site de Philippe Marcelé.
Je vous recommande de lire également l’interview de Tifenn.
super
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